
Les obligations gouvernementales ont été au centre de l’attention. Il est regrettable que ces fonds retirés des livrets d’épargne n’aident pas directement les entreprises. Instaurer une législation qui stimulerait les investissements dans les entreprises locales serait beaucoup plus bénéfique pour l’économie. Nous risquons de voir une répétition de cette situation dans un an, soit avec l’émission de nouvelles obligations, soit avec un allongement de la durée de cette dette.

Conçu par Welles Wilder, les fervents adeptes du RSI considèrent que cet oscillateur figure parmi les meilleurs outils pour obtenir une meilleure compréhension de la dynamique des prix. Ils soutiennent d’ailleurs qu’il existe trois approches pour son utilisation : la détection des fluctuations à court terme des cours, l’identification des phases de tendance et l’anticipation des retournements de marché.

Nous entrons potentiellement dans une période de reprise, cependant il mérite d’être souligné qu’un article récemment publié dans McClellan Financial Publications mérite d’être examiné attentivement. J’ai une connaissance de longue date de cette entreprise, et les signaux provenant de son oscillateur sont généralement dignes d’attention.

Les nouvelles provenant du marché financier manquent de dynamisme. Les données relatives à la consommation et aux investissements en Chine montrent à nouveau une décélération en juillet, et ce ralentissement pourrait se prolonger en août. Il en va de même pour la croissance de la production industrielle, et le secteur de la construction montre des signes de faiblesse.

Nous traversons actuellement une période marquée par l’incertitude, l’espoir et la déception. Nous sommes extrêmement réactifs à la moindre fluctuation du marché, ce qui provoque des variations brusques dans nos portefeuilles, faisant monter puis retomber les valeurs en dessous de notre prix d’achat initial. Ce qui se déroule en ce moment, c’est une transformation radicale du public boursier, confirmant les craintes des investisseurs traditionnels. Bien que nous nous évertuions à affirmer que la bourse n’est pas un lieu de hasard, cette notion est de plus en plus remise en question par les individus en quête de gains rapides et faciles.

En ce moment, tout est en constante évolution, y compris les repères du marché boursier. Vous n’êtes pas sans savoir que l’indice boursier connu sous le nom de NASDAQ, qui regroupe des valeurs plus spéculatives, a connu une progression nettement supérieure à celle des valeurs classiques de notre jeunesse.

Parfois, le simple fait de s’aérer l’esprit peut changer nos opinions. Cependant, je suis fermement attaché à l’analyse chartiste, qui m’apporte un soutien financier satisfaisant. Bien sûr, il y a toujours moyen de s’améliorer, mais cela permet tout de même des moments de réflexion et de retenue dans les décisions prises trop hâtivement par d’autres. Je suis conscient de l’importance d’être réactif, mais avec l’essor des algorithmes, nous ne serons plus jamais les seuls à avoir le dernier mot.

En réalité, souvent notre interprétation est influencée par notre désir secret de voir le graphique évoluer d’une certaine manière. Il est indéniable que le S&P 500 est actuellement plus élevé que son précédent sommet en février, qui était lui-même supérieur à celui de novembre. La tendance à la hausse se poursuit, mais pour être honnête, tout n’est pas parfait. Si vous regardez les volumes, vous constaterez qu’il y a moins d’actions contribuant à la hausse en mai par rapport au volume vendu en mars. L’accumulation reste positive, mais l’oscillateur approche de la limite à 72,4, la même limite qui avait entraîné une correction en février.

Le retour du soleil a apporté un changement miraculeux : les actions se développent désormais dans un environnement plus propice. La baisse des prix du gaz soulage l’Europe après la crise énergétique, avec la perspective d’une baisse potentielle jusqu’à 20 € par mégawattheure pendant l’été. De plus, les stocks dépassent la moyenne, affaiblissant ainsi l’influence énergétique de Poutine.

Depuis le début de l’année 2023, le Trésor américain utilise des mesures de financement extraordinaires pour garantir le paiement des obligations qui arrivent à échéance. Cette situation suscite une grande inquiétude. Le plafond actuel est déjà extrêmement élevé, avoisinant les 31 400 milliards de dollars. Le débat en cours est principalement politique : les Républicains insistent pour que le relèvement du plafond de la dette s’accompagne d’une réduction des dépenses publiques, ce qui serait considéré comme une gestion responsable. Cependant, les Démocrates souhaitent augmenter le plafond sans modifier la politique budgétaire.

En bourse, il arrive que certains investisseurs accordent leur confiance à certaines valeurs, au point de ne plus savoir exactement ce que fait réellement l’entreprise dont ils sont actionnaires. Bien que des gestionnaires boursiers publient des articles et des avis, la fourchette d’estimation est souvent très large, ce qui rend difficile la prise de décisions éclairées. Il est conseillé de se baser sur une estimation médiane, mais comme le disent les anciens, les choses ont changé.

Il y a eu peu de changements depuis la semaine dernière, et les événements géopolitiques se sont banalisés au point de ne plus susciter beaucoup d’intérêt. Les scandales sont devenus monnaie courante et les informations ne sont pas plus fiables qu’avant. Par conséquent, j’ai commencé à me concentrer davantage sur les graphiques pour me rassurer.

Ces derniers temps, le marché financier a connu des mouvements brusques, tant à la hausse qu’à la baisse, qui ont été provoqués par divers facteurs alarmants tels que l’augmentation des taux d’intérêt, la crainte d’une récession, les tensions géopolitiques, les inquiétudes quant aux bénéfices des entreprises et pourtant, une augmentation des dividendes a également été constatée. Nous semblons être dans une situation instable et volatile, mais il est encourageant de constater que ceux qui suggèrent de vendre ne sont pas capables de faire baisser les prix, et encore moins de les maintenir. Nous assistons à une sorte de jeu de saute-mouton sur le marché.

Les actions américaines ont connu une forte hausse en fin de semaine, en raison de l’affichage de chiffres indiquant une inflation modérée, à l’exception du secteur du logement. Bien que cette augmentation de 0,30 % soit considérée comme une bonne nouvelle, elle reste néanmoins une augmentation, même si elle est légèrement inférieure aux prévisions des économistes. Malgré cela, on se demande pourquoi cet engouement soudain pour les actions.

La Bourse actuelle manque d’attrait et peut être comparée aux conditions météorologiques changeantes. Malgré quelques moments de clarté, elle est souvent marquée par des vents et des pluies du nord qui la rendent imprévisible. Les professionnels de la finance doivent jongler avec ces conditions difficiles, comme en témoignent les statistiques actuelles à New York. Bien que l’image de la Bourse semble positive, la réalité est que la plupart des valeurs sont en-dessous de la moyenne et en baisse.

Actuellement, les nouvelles ne sont pas particulièrement stimulantes. Le monde avance à un rythme effréné, avec une multitude de sujets abordés et des innovations constantes, ce qui peut nous faire sentir dépassés. Les magazines sont remplis d’articles sur des sujets tels que l’intelligence artificielle, les véhicules électriques, les découvertes fascinantes de l’espace et les actifs numériques. Bien que ces technologies soient indéniablement utiles à long terme, les experts de la nouvelle génération soulignent clairement leurs avantages.

Une fois de plus, la Réserve fédérale (FED) a transmis un message fort et le marché des obligations l’a finalement saisi. Cependant, les investisseurs en actions semblent ignorer la menace d’une augmentation des taux d’intérêt, car les actions continuent de se maintenir à des niveaux élevés. Malgré cela, des entreprises bien connues telles que Goldman Sachs et Bank of America prévoient que la FED augmentera ses taux d’intérêt à trois reprises cette année.

La semaine dernière, j’étais enthousiasmé par la progression boursière des actions clés au-dessus de leurs moyennes de test, mais un brusque refroidissement commence à affecter les acheteurs, ce qui se reflète dans les indicateurs habituels. Maintenant, seulement 39% sont optimistes contre 61% qui sont pessimistes.

Les investisseurs en bourse avaient l’habitude de considérer que si l’indice boursier américain phare, le Dow Jones, augmentait conjointement avec l’indice des Transports, cela indiquait ou anticipait une période de hausse pour le marché boursier. Cette situation se produit actuellement, avec les deux indices en tendance haussière et au-dessus de leurs moyennes mobiles. Toutefois, il est important de noter que les entreprises ont évolué et que les comparaisons ne sont pas toujours appropriées.

L’année 2023 semble se profiler comme une année favorable pour le marché boursier. Je vous ai évoqué le dicton : « Ainsi va Janvier, ainsi va l’année. » Cependant, il y a des nuances. Le sentiment des investisseurs en janvier ne correspond pas toujours à l’effet de sentiment de janvier. Bien sûr, chacun pense savoir mieux que les autres ce qui attend le marché boursier à l’avenir.

La Fed a achevé son cycle de resserrement monétaire et une récession plus grave que prévue est à prévoir. Les bénéfices vont augmenter ce trimestre, entraînant une hausse des marchés. Selon les calculs, les cours ne devraient pas dépasser le niveau atteint en août ni tomber en dessous de celui d’octobre.

La Bourse a connu des secousses et certains s’attendent à voir l’impact du mois de janvier. Vous connaissez peut-être l’expression « Ainsi va janvier, ainsi va l’année ». En effet, un expert en statistiques a découvert en 1942 que depuis 1925, les actions de petite capitalisation ont toujours battu les actions de grande capitalisation en termes de rendement durant le mois de janvier.

Cette fin d’année boursière semble sombre car les investisseurs (vous et moi) comprennent que les effets de l’inflation, et surtout de la hausse des taux pour la contrer, commencent à se faire sentir. La politique de resserrement devrait avoir un impact réel sur l’économie en 2023. La prudence s’installe et, avec elle, le courant baissier.

Les indicateurs indiquent que les actions en hausse dépassent les actions en baisse, et la majorité d’entre elles dépassent leur moyenne sur 50 jours (73,9 %). Toutefois, seuls 42,4 % d’entre eux dépassent maintenant leur moyenne à 200 jours. Les investisseurs entendent encore la voix de la FED en ce qui concerne la hausse des taux.

Nous pensions que le déclin était en cours et que la pandémie était sur le point de s’éteindre. Cependant, la situation est maintenant remise en question. La Chine a enregistré une quantité sans précédent de contaminations pour la troisième journée consécutive. La hausse de la bourse est cyclique, mais attention au revers.