Le petit mot boursier de Roger Lecut (06 mars 2021)

Chers investisseurs,

Nous pourrons bientôt nous rencontrer mais avec les 22.215 décès, nous devrons rester sur nos gardes. Pour revoir mes petits mots boursiers

D’autre part, la vie reprend peu à peu et voici deux communiqués :

vous pouvez assister à la CONFERENCE : Jeudi 18 mars à 18.30 (ouverture des écrans 18.15). En étroite et exclusive collaboration avec le Club Rotary Bruxelles-est nous vous invitons à une conférence via Zoom Titre : UAP, Royale Belge, S.G , GBL , BBL, AXA…des noms qui claquent au vent des souvenirs. 40 années d’histoire des grands groupes financiers. Les coulisses …par un acteur ! Orateur : Pierre Goffin. Vous vous donnerons bientôt une invitation détaillée et le moyen pour recevoir le lien donnant accès à Zoom. Vous pouvez inviter vos amis sans problème; il y a de la place !

Et prendre du repos à VITTEL 2021 ! nous avons le plaisir de vous informer des dates du traditionnel évent « weekend de l’amitié » à Vittel. L’édition 2021 se tiendra du 16 au 19 septembre aux mêmes conditions qu’en 2020. Si vous étiez déjà inscrit pour 2020 votre inscription est transférée aux nouvelles dates 2021. Infos suivront. Vous pouvez m’adresser un mail pour connaître les conditions de ce séjour réputé.

Et maintenant, la Bourse : Les valeurs les plus décevantes en 2020 reprennent des couleurs.

Pourtant, ces dernières semaines, avec les préoccupations concernant le potentiel de hausse de l’inflation, la volatilité des marchés boursiers a augmenté. C’est vrai que je vous en parle depuis l’année passée, cette inflation a un impact sur les rendements futurs des marchés boursiers.

En cyclologie boursière, les bar charts nous montrent que sur six fourchettes de taux d’inflation par rapport au gain moyen de l’indice américain S&P 500 sur 12 mois, le marché boursier a obtenu de meilleurs résultats à la suite d’un taux d’ inflation relativement bas. C’est pas difficile à comprendre pourquoi aux USA, on est bullish à 79 % avec 77 % des actions qui évoluent encore au dessus de leur moyenne à 200 jours.

Mais quand faut-il craindre vraiment cette inflation qui nous tombera dessus sans trop tarder. Il faut une augmentation assez notable de l’inflation pour avoir un impact significatif sur les rendements futurs des marchés boursiers. Le taux d’inflation le plus bas aux États-Unis depuis 1948 s’est produit en août 1949 et a atteint -3,0 %. Le taux d’inflation le plus élevé aux États-Unis depuis 1948 s’est produit en mars et avril 1980 avec un taux de 14,6 %. Et l’inflation en 2021 s’approche d’environ 1,4%. Nous sommes dans la deuxième colonne bleue et si la réaction des marchés est parfois négative, il n’y a certainement pas urgence à quitter les actions. Jetons un coup d’œil sur les plus performantes de la semaine écoulée sur le marché belge.