Chers investisseurs,
Le temps est toujours aussi maussade et le virus continue à opérer. Nous en sommes à 25360 victimes et 1,177.909 contaminations. En Bourse, je suis d’accord avec BERNSTEIN qui malgré son avertissement au sujet d’une bulle aux proportions épiques, ne prédit pas un effondrement total du marché.
Il rejoint la cyclologie boursière qui voit le marché comme une sorte de balançoire. C’est l’éternelle recherche d’un équilibre entre les actifs à long terme qui sont très surévalués (j’en parle depuis belle lurette) et une bulle par rapport au reste du monde de la finance. A la lecture des avis du Monde économique, il est peu probable que les liquidités s’assèchent très rapidement ; les carnets d’épargne en regorgent. La probabilité d’un marché baissier majeur n’est pas une menace imminente et elle devient de plus en plus faible malgré ce que pensent les gens.
Il y a beaucoup de vert dans ce tableau et les baromètres indiquent que l’optimisme est bien revenu. Les matières premières, l’or en tête , reprennent de la vigueur. La pulsion haussière du pétrole reprend aussi avec force.
Les secteurs les plus recherchés depuis une semaine et un mois mettent toujours la Technologie, la Finance et les Services de communication en tête du classement.
Ma valeur Benchmark (de référence) montre aussi des signes d’une évasion prochaine à la hausse.
Alors maintenant, voyons les valeurs les plus aptes à hausser dans les jours à venir :
Voilà, la pluie tape au carreau et je désire profiter de cette aubaine ; j’ai acheté un nouveau parapluie ; il paraît que c’est un bon investissement.
Bon Week-end !
Roger LECUT Gradué en Sciences Bancaires et Boursières Professeur de Cyclologie Boursière Tribune à la Salle Boursière de Charleroi