L’automne marque non seulement la chute des feuilles, mais aussi celle des performances financières des entreprises, conduisant à une baisse des valeurs boursières pour bon nombre d’entre elles. Les périodes difficiles sont manifestes et les contraintes se révèlent dans de nombreux secteurs. La déception face aux espoirs de croissance des dividendes futurs est ce qui provoque la dégringolade boursière.

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La Bourse reflète la nature imprévisible de notre climat. Des moments de clarté et de brillance sont souvent obscurcis par des nuages de doutes et d’incertitudes. Les tensions géopolitiques planent comme des orages menaçants, et le terme « guerre » assombrit nos moments de paix. Il faut maintenir l’espoir et croire en des opportunités prometteuses.

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Le climat se refroidit, et il semble que la bourse aussi. Pour trouver du réconfort, il faut examiner si le marché traverse une réelle débâcle ou si c’est une situation temporaire. Encore une fois, l’analyste technique dispose de méthodes pour discerner cela.

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Il est inutile de chercher des arguments rassurants face à la réalité des marchés boursiers. Ceux-ci anticipent les bénéfices futurs et reflètent ces anticipations dans les cours actuels. Les pertes peuvent être temporaires ou non, et un graphique montrant des baisses continues indique une tendance baissière du marché.

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Il est évident que l’inflation croissante et la montée potentielle des taux commencent à fatiguer la communauté des investisseurs. Par exemple, aux États-Unis, le taux du bon du Trésor à 10 ans est basé sur une inflation de 2 %. Il faut aussi noter qu’un tiers des bons actuellement en circulation arrivera à échéance de manière échelonnée sur une période d’un an et demi.

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Les obligations gouvernementales ont été au centre de l’attention. Il est regrettable que ces fonds retirés des livrets d’épargne n’aident pas directement les entreprises. Instaurer une législation qui stimulerait les investissements dans les entreprises locales serait beaucoup plus bénéfique pour l’économie. Nous risquons de voir une répétition de cette situation dans un an, soit avec l’émission de nouvelles obligations, soit avec un allongement de la durée de cette dette.

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